RACB NATIONAL TEAM

Pour la 2e fois de sa très jeune carrière en monoplace, Yani Stevenheydens avait rendez-vous avec le championnat de France F4. Au soir du meeting de Magny-Cours, le représentant du RACB National Team occupait une encourageante 8e place au classement provisoire.

Après Nogaro, Magny-Cours. Une piste que Yani Stevenheydens a immédiatement adoptée. «C’est un très chouette tracé», précise notre compatriote. «J’adore vraiment parce qu’il y a de nombreux virages très rapides. Les dépassements sont possibles.»

Ce que notre compatriote a largement prouvé tout au long du week-end riche, à nouveau, de trois courses. «En qualification, il a fallu composer avec quatre drapeaux rouges », analyse le jeune pilote de Westrode. «Dans ces conditions, il était pratiquement impossible de signer le tour parfait. J’ai dû me satisfaire de la 7e position. Ce qui me rassure, c’est que je comprends mieux le fonctionnement de mes pneus. Par rapport au premier week-end de course, j’arrive à mieux les exploiter.»

Pour la course 1, hélas, Yani était victime d’un souci technique dont il n’était pas responsable. «A quelques secondes du départ, la boîte de vitesses est restée en position neutre. Impossible d’enclencher le 1er rapport. Je suis donc parti bon dernier. Mais sur les 26 concurrents engagés, j’ai terminé au 18e rang après avoir effectué quelques beaux dépassements.»

Dans la course 2, le Belge partait 4e par la grille inversée. «Ce ne fut certainement pas mon meilleur départ puisque j’ai perdu une place. J’ai cependant réussi à récupérer la 4e position avant de commettre une petite erreur dans le dernier tour et d’être le 5e à couper la ligne. »

Lors du 3e et dernier sprint, notre compatriote subissait, comme ses rivaux, l’entrée en piste de la safety-car à deux reprises. « On a pu s’exprimer réellement pendant quinze minutes grand maximum. De la 9e place, j’ai fini 6e. Dans l’ensemble, je suis satisfait de mon déplacement dans la Nièvre. Mais je suis conscient qu’il me reste pas mal de choses à améliorer, notamment mes départs.»

(communiqué de presse)